Les disques de stockage sont essentiels pour installer un système d'exploitation, des programmes divers et variés ainsi que pour stocker toutes vos données (musique, photos, jeux, etc). Si tu n'as plus d'espace de stockage sur votre PC, le plus simple est de rajouter un nouveau disque de stockage. Il en existe deux types principaux : Les disques durs mécaniques (HDD) et les SSD, qui se déclinent en plusieurs formats et interfaces, pouvant être branchés en interne comme en externe.
SSD : Indispensables depuis plusieurs années que ce soit en bureautique ou pour des machines performantes, les SSD sont parfaits pour tout type d'usage, notamment le transfert de fichiers ultra rapide, ainsi que pour réduire le temps de chargement en jeu !
Disque Dur SATA 3.5" : Ces disques durs mécaniques sont idéaux pour stocker toutes tes données lourdes comme des vidéos, photos ou tout autre type de fichier !
Disque Dur 2.5" SATA (pour portable) : Les ordinateurs portables utilisent un format de disque dur différent: le 2.5". Ces disques sont aussi utilisés pour les mini disques durs externes.
Câble SATA : Pour connecter votre disque dur à votre carte mêre.
Accessoires disque dur et SSD : Racks, ventilateurs, cartes: tous les accessoires pour votre disque dur
Disque dur et SSD externe : L'avantage de ce type de disque dur est de pouvoir transférer un gros volume de données simplement et rapidement entre plusieurs PC. L'interface du disque dur externe est le plus souvent l'USB ce qui le rend quasiment universel.
Boitier disque dur et SSD : Boitiers externes en USB, eSata ou FireWire, docks pour disque dur
Clé USB : Support de stockage amovible
Carte mémoire : pour augmenter la capacité de stockage de certains ordinateurs portables ou des smartphones
Dock pour disque dur et SSD : Accédez facilement au contenu de vos vieux disques durs sans avoir besoin déouvrir votre PC !
Mémoire de masse magnétique, le disque dur sert à conserver les différentes données stockées sur un ordinateur de manière permanente. Il est relié à la carte-mère par un contrôleur, qui est une sorte d'interface entre le processeur de l'ordinateur et le disque dur. Depuis 2012, ce dernier est délaissé au profit du SSD. Le solid-state drive, qui permet de stocker toutes les données d'un pc sur de la mémoire flash, pallie les défauts du disque dur mécanique. Très résistant aux différentes vibrations et aux chocs, le SSD émet très peu de nuisances sonores. Beaucoup plus performant qu'un disque dur mécanique, le SSD ne peut cependant que réécrire des zones qui sont bien plus larges qu'un secteur disque. Par ailleurs, le SSD ne possède aucun délai mécanique. Contrairement au disque dur, il ne laisse jamais de temps libre au processeur lorsqu''il le sollicite : la réactivité générale de l'ordinateur s'en trouve donc être affaiblie. Mais ces défauts peuvent être atténués en choisissant une puce SLC, qui se trouve généralement dans les SSD professionnels. Possédant de très hautes vitesses de transfert, elle permet d'augmenter la réactivité d'un ordinateur. Cependant, son coût de fabrication est plutôt élevé : c'est donc la puce MLC, beaucoup moins onéreuse, qui se trouve dans la plupart des SSD. Ne permettant pas d'atteindre des vitesses de transfert très importantes, elle consomme énormément d'énergie et possède une durée de vie très faible.
Le disque dur mécanique est composé de nombreux disques rigides en céramique ou en verre : c'est pourquoi il est relativement fragile, contrairement au SSD. Appelés « plateaux », ces disques rigides sont empilés les uns sur les autres. Et ce sont les têtes de lecture, situées entre deux plateaux, qui permettent de lire et d'écrire les données. Pour ce faire, elles se soulèvent et s'abaissent sur toute la surface du disque dur. Et toute cette mécanique est contenue dans un petit boîtier, qui doit être entièrement hermétique. La moindre particule pouvant détériorer le système, seuls des professionnels peuvent ouvrir un disque dur.
Les têtes d'écriture et les têtes de lecture contenues dans le boîtier sont inductives : elles peuvent créer un champ magnétique. En créant des champs négatifs et positifs, elles polarisent la surface du disque dur en une zone minuscule. Les têtes d'écriture inscrivent d'abord les données en périphérie du disque, puis s'avancent vers son centre. Un courant électrique, créé par les changements de polarité lors du passage en lecteur, est ensuite envoyé aux têtes de lecture. Transformé en bits par un convertisseur analogique, le courant électrique sera alors compréhensible par l'ordinateur.
Pour exploiter totalement les performances de son disque dur, il est possible de passer en « mode bloc ». Ce dernier consiste à transférer les données de l'ordinateur par « blocs », des paquets de plus de 500 octets. Le processeur n'aura alors plus à traiter des milliers de paquets, composés chacun d'à peine quelques bits. Mais ce mode de transfert de données n'est véritablement utile que sous d'anciens systèmes d'exploitation, car les plus récents possèdent leur propre gestionnaire de disque dur. Dans ce cas, il conviendra plutôt de passer du mode 16 bits au mode 32 bits. Le gain de performance est plutôt minime et seuls les professionnels peuvent réaliser cette opération. En effet, c'est généralement la carte-mère qui détermine elle-même le mode à adopter, en fonction des différentes caractéristiques du disque dur.